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Se languissant des fleurs ou un air de Gichiku Mont Yoshino
Le printemps est là ! Sur la montagne sans nom Brume matinale
Plantant un bananier je déteste plus que jamais les roseaux qui poussent
Mouvements Du coeur Dans le frisson du saule
Fleurs blanches hier on a volé la grue
Dans une humble chaumière les feuilles de thé ratissées après l’orage
Battu par la tempête le vent perce mon corps jusqu’au coeur
Près des belles-de-jour je m’enfourne de la pâtée de riz comme un homme